Anne Pourny

Peintre et graveur,

Anne Pourny vit et travaille à Martisserre

en Gascogne, au pied des Pyrénées,

tel : 06 98 10 46 45

site : www.anne-pourny.com

instagram :  annepourny

mail : anne.pourny[at]gmail.com

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Bio: 

Etudes en Arts Plastiques à l’Ecole d’Art Martenot et à l’Atelier Madhavi du Centre Américain de Paris. En 1985, licence d’Histoire de l’Art et d’Archéologie à l’Université Paris X.

Enseigne les Arts Plastiques et l’Histoire de l’Art de 1965 à 1990.


Cofondatrice du Groupe Cobalt en 1988.Présidente du « Salon d’Art Contemporain Itinéraires » de 1993 à 1996.
Secrétaire Générale et membre du Conseil d’Administration du « Salon d’Automne de Paris » de 2003 à 2008 où elle est Présidente des Sections «Art Abstrait» et «Livres d‘Artiste».

Membre du Conseil de Signum, association de créateurs de livres d’artistes, de 2002 à 2010.
Cofondatrice en 2013 puis Présidente du groupe d’artistes « Le Cercle du Mont-Cenis », réseau de réflexion et d’action dans le domaine des arts visuels.

Membre du Comité Exécutif de la Fondation Taylor, depuis 2016

Trilogie du Temps, nocturne, 40×40 cm, aquatinte

Trilogie du Temps, aube, 40×40 cm, aquatinte et vernis mou

Espace-Temps, 21×25 cm, aquatinte, pointe sèche et encre au sucre

L’Homme et la mer III, diam 42 cm, aquatinte, pointe sèche, encre au sucre

intention, technique :

Dans le courant de l’abstraction lyrique, Anne Pourny développe une expression personnelle dont les sources principales ont été d’une part les œuvres de Turner et d’autre part un grand intérêt pour la philosophie et l’art asiatiques.

Anne Pourny traite sous une forme qui tend à l’abstraction les 4 éléments fondamentaux : l’Eau, l’Air, la Terre et le Feu.

Ses œuvres ont pour guide la composition et le jeu des couleurs qui sont largement enrichie par du dynamisme, de la lumière et surtout toute son émotivité.

Elle pratique le mélange de techniques avec sa préférence pour l’aquatinte, mais aussi la pointe sèche, l’encre au sucre et le carborundum.

 

« Il y a peut-être plus d’aléatoire dans ma gravure, elle donne ainsi du rêve, et elle permet d’explorer l’immense évènement de l’Univers. Avec une certaine tension entre ce que je veux dire et ce que la matière veut bien me donner, cet espace je le remplis avec l’aquatinte, la pointe sèche, le carborundum, l’encre au sucre … Je suis très loin de la maîtriser et c’est ce que j’aime car elle me surprend. »